1 mai
2014

Retour pour un nouveau décollage

A demain revient après un long moment d’absence

Copenhague, Danemark

Chaque absence est justifiable et peut s’expliquer. Lors de notre visite dans la capitale danoise, Copenhague, la statue de la « Petite Sirène » était absente. Ce rocher, nu, « banal », est le socle de cette statue en bronze, mondialement connue. Mais l’absence de cette pièce d’Art se justifiée par l’Exposition Universelle de 2010 à Shanghai, en Chine. Mes articles sont un peu comme cette statue qui voyage et s’absente pour mieux revenir.

La volonté, l’envie, la motivation peuvent justifier une absence mais être absent à un endroit ou un moment, c’est être présent ailleurs. Les voyages, le travail, le sport bref la vie rythmée occupent ce temps libre pour partager sur ce blog des idées, convictions, passions ou pensées.

Les envies évoluent avec l’âge, les rencontres et notre quotidien. Un changement professionnel ? Une recherche de nouvelles sensations ?

La prochaine étape est de décoller attacher à un aéronef et voler librement…

« On ne sait aujourd’hui de quoi demain sera fait », Simonide d’Amorgos

12 nov
2013

Manger moins mais mieux pour une meilleure santé

A demain mange moins et va mieux

Manger moins mais mieux pour vivre plus

Source : 7sur7.be

En tant que français, manger devrait être un Art. Le monde entier sait que la gastronomie française est une spécificité de l’Hexagone. Et pourtant, tous les français ne sont pas de fins cuisiniers et ne prennent pas plus de plaisir à manger qu’à se goinfrer. C’est un tort de ne pas porter attention à son alimentation car cela impacte notre corps, notre santé et donc notre longévité.

De nombreuses études scientifiques ont montré que réduire la quantité de nourriture mangée allongerait la durée de vie en bonne santé. En plus de la quantité, il faut savoir équilibrer son alimentation car trop de protéines, trop de calories, bref l’excès n’est pas bon ! Un exemple concret est présenté dans le magazine Geo :

En Sardaigne, la région de l’Ogliastra est devenue un laboratoire pour découvrir la recette du bien vieillir. En effet, avec 30,9 centenaires pour 100 000 habitants, le village de Villagrande Strisaili est un endroit exceptionnel pour la longévité des femmes comme des hommes (inégalité en France où les femmes vivent 7 ans de plus que les hommes). Dans cette « zone bleue » (nom donné à un lieu où l’on observe une espérance de vie supérieure à la moyenne), l’activité physique est quotidienne. Le dénivelé entre le bas et le haut du village avoisine les 700 mètres et les villageois ne cessent de grimper sur les hauteurs. Alors grimpez, çà conserve !

Les zones bleues ont des points communs :
- le relief
- l’eau pure
- des forêts assainissant l’air ambiant
- des communautés paysannes habituées à se dépenser physiquement
- des liens familiaux étroits
- une nourriture locale

En plus de l’activité, il y a l’alimentation. Notre corps a des besoins et des limites. Dans nos sociétés modernes, de nombreux produits industriels et « trafiqués » ne correspondent pas aux attentes de notre corps. Le goût des produits est faussé et en plus de mal manger, on goinfre notre corps avec l’envie d’avoir plus. Toujours plus et la soif de l’argent des industriels est poussée par des campagnes publicitaires – plus ou moins mensongères – où le marketing doit trouver toujours de nouveaux points faibles du consommateur. Inciter et pousser à la consommation, c’est la réalité quotidienne des pays développés. Pendant ce temps, on parle de faim dans le monde.
Consommer une nourriture propre, que la terre nous offre, permet de ne pas agresser notre organisme (et au passage, évite les dégâts sur l’environnement). Le repas doit être un moment de partage et de convivialité où le plaisir de manger est bénéfique pour l’esprit et le corps. Cette nourriture provient de la passion (et non pas du travail, terme péjoratif) des hommes et des femmes.
Le troisième pilier de la longévité est effectivement le « travail » ( « le travail, c’est la santé », n’est-ce pas ?).
Mais la recette « magique » doit venir de chacun de nous car vivre ensemble est la clé d’une société épanouise. « Être mieux » au lieu « d’avoir plus » résoudra de nombreux problèmes auxquels nous subissons les ravages permanents et devons combattre.

Une autre source de simplicité pour une vie meilleure.

8 juil
2013

Assurances: négocier et comparer pour économiser

A demain cherche à économiser

Pouvoir d’achat en berne et hausses de salaires imaginaires, il est temps de jouer la fourmi (comme dans la fable de Jean de La Fontaine), l’écureuil économisant ses noisettes ou encore le furet pour comparer. Ce dernier est la mascotte du comparateur d’assurances en ligne LesFurets.com. Ce site Internet permet de rassembler un large éventail d’assureurs et ainsi de demander un devis aux meilleurs offres.

Dans le budget d’un ménage, les assurances occupent une place non négligeable et sont bien souvent floues. Pour s’éclairer sur le sujet, rien de mieux que de s’informer et de comparer entre les différents assureurs présents sur le marché. Que ce soit pour une assurance auto – moto, habitation, santé ou crédit, choisir la meilleure assurance en fonction de ces besoins est un vrai parcours du combattant. L’idéal est d’utiliser un comparateur d’assurances.

Une fois que vous avez reçu les différents devis, le mieux est d’aller voir son assureur et de faire le point avec lui sur vos contrats. Bien souvent la négociation commence car vous avez entre les mains des offres bien souvent plus intéressantes que votre actuelle assurance. Vous pouvez ainsi mettre la pression sur votre assureur pour faire baisser votre cotisation et ainsi économiser plusieurs euros (dizaines voire centaines avec certaines offres). Cette démarche est facilité avec les comparateurs alors prenez quelques minutes pour comparer et négocier vos assurances.

Sur les comparateurs d’assurances en ligne, vous trouverez également des informations pour résilier votre assurance, si votre contrat arrive à échéance et que les devis ont montré des belles économies en perspective, et d’autres informations pratiques à connaitre pour éviter les pièges des « petites lignes » dans les contrats d’assurance.

A demain compare et va prendre rendez-vous pour négocier.
Objectif : ÉCONOMISER !

23 mar
2013

Made In France: Stratégie anti-crise ?

A demain favorise la production en France dans sa consommation

logo Made In France logomadeinfrance.tumblr.com

Le Made In France est de retour ! La tendance revient sur le devant de la scène avec notre Ministre du redressement productif, posant avec sa marinière et son robot ménager « Made In France ». Mais quelle est l’identité de ce concept utilisé lors de chaque grave épisode de crise industrielle ? Comment le consommateur français et international peut s’y retrouver et se fier à toutes les étiquettes « bleu-blanc-rouge » ?

A chaque crise industrielle son slogan. Pour la crise de 1973, le PCF lance le « fabriquons français » en 1977, puis pour celle de 1993, les chambres de commerce et d’industrie lance une campagne de communication « nos emplettes sont nos emplois« , et dernièrement le « made in france » d’Arnaud Montebourg. Le gouvernement Ayrault cherche (encore?) les clés pour retrouver de la croissance et arrêter les plans sociaux et l’explosion du chômage. La carte du bleu-blanc-rouge est jouée à fond par le gouvernement et les marques pour tenter de relancer la consommation dans l’Hexagone. Plusieurs enquêtes et sondages montrent que les Français sont prêts à défendre leur patriotisme économique en payant plus cher (10%) un produit « Made In France ». Ce mouvement citoyen exprime une prise de conscience pour une consommation responsable. Cela se traduit par une recherche des circuits courts et de proximité (vente directe chez les producteurs), ainsi qu’une traçabilité pour ne pas être berné. Après la période de greenwashing, le « cocoricouac » commence par un manque d’informations sur les étiquettes pour les consommateurs et une définition légale du « Made In France ». Attention de ne pas tomber dans le protectionnisme pour entraver la libre circulation des marchandises, mise en place dans l’Union Européenne. Mais le consommateur n’acceptera pas de payer plus cher pour acheter français si derrière l’étiquette se cache des délocalisations, des produits nocifs pour la santé et la planète ou encore des abus éthiques et sociaux. Le consommateur attend d’un produit une garantie, une traçabilité et une qualité. L’actualité sur le scandale de la viande renforce ces « consomm’attentes« .
De même, le « Made In France » ne garantit pas:
- un plein emploi car des personnes travaillent dans l’importation
- une qualité impeccable car d’autres pays sont plus spécialisés sur certains marchés
- un impact réduit sur l’environnement car le transport, les techniques de fabrication ou les matériaux utilisés peuvent être plus polluants avec une étiquette « bleu-blanc-rouge »

Pour aider le consomm’acteur a prendre la meilleure décision sur l’achat des produits, il faudrait normaliser une traçabilité des produits, améliorant la transparence de l’étiquette « Made In France ». La stratégie de communication du « Made In France » ne doit pas cacher une impuissance de la politique industrielle menée par le Président François Hollande et son gouvernement. L’enjeu du « Made In France » est d’abord dans l’organisation de l’offre et l’attractivité du territoire. Les relocalisations et les innovations de nos entreprises doivent être des signaux forts, mis en avant. Par exemple, dans l’Orne, l’association entre des spécialistes Le Chameau et Michelin permettra de créer une botte « Made In France ». Cette démarche de « co-branding » français permet d’associer des savoir-faire et d’innover pour créer des produits compétitifs et d’une qualité irréprochable, et ainsi être reconnu dans le monde entier comme des spécialistes. Il ne s’agit pas de se focaliser sur la production mais sur « l’économie de la contribution« , où l’essentiel de la valeur ajoutée résidera dans l’innovation, la recherche, les brevets et le marketing pour s’adapter aux besoins de demain des consommateurs.

Que notre politique industrielle transpire un Made In France mondialisé.

16 nov
2012

Photographe amateur sur iPhone: vendez vos photos

A demain recherche une photo

A demain a été interpellé dans sa veille sur le web et sur les applications iPhone. Présent sur iTunes, FOAP est une application iPhone qui permet aux iPhoneurs et iPhoneuses de vendre leurs photos prises avec leur smartphone. Cette place de marché en ligne, développée par une start-up suédoise, a été lancée en juillet 2012 et connait un fort succès. Plus de 150 000 téléchargements et le million de photos postées dépassé, FOAP Market fonctionne de la manière suivante.

Après avoir téléchargé l’application et s’être inscrit, vous downloadez votre photo à vendre, puis vous la tagguez avec des mots-clés pour que les acheteurs potentiels trouvent plus facilement votre cliché. Après modération par les équipes FOAP, votre image est en ligne et disponible sur le market place. Vendue 10 dollars, vous recevrez 50% (c’est-à-dire $5) et FOAP aura les 50 autres pourcents. Un moyen supplémentaire d’arrondir les fins de mois !

Le marché des banques d’images ont explosé avec l’utilisation des iconographies par les agences de communication, les magazines web ou encore les illustrations publicitaires. Cette application devrait connaitre un succès grandissant avec la crise, l’augmentation du taux d’équipements des français en smartphone et la génération Y accro des NTIC et des partages de données.

Vu d’un mauvais oeil par les professionnels de la photographie, l’application peut flirter avec la limite des droits d’auteur. En effet, si vous décidez de vendre votre photo, est-ce que les droits sont également vendus ? Et les droits d’image pour une personne tiers présente sur le cliché ? Bref, attention à ne pas mettre de côté cette liberté et ces droits de création et d’image, au profit de quelques billets…

Avez-vous déjà testé cette application ? Quels sont vos retours ?

29 juil
2012

Internet: trouver ou se perdre

A demain cherche sur Internet, comme vous ?

au revoir Lycos

Avec plus de 2,27 milliards d'internautes dans le monde tous connectés en permanence (grâce à leurs connecteurs à domicile), Internet s'enrichit de jour en jour et le chiffre de 700 millions de sites web est proche d'être atteint. Même si tous ces noms de domaine n'apportent pas d'information ou ne contiennent pas de contenu, il y aurait plus de 200 millions de sites actifs.

Comment trouver son chemin dans cet univers web ?

En 1990, un étudiant lance l'ancêtre des moteurs de recherche, Archie. Ce logiciel conçu pour rechercher des documents sur Internet a initié les premières technologies de recherche sur Internet. Mais c'est avec la naissance du web, qu'en 1993, Wanderer et ses "spiders" déferlent sur la toile. Puis tous les ans, les machines se perfectionnent et entre l'annuaire Yahoo en 1994, Lycos, Altavista et Excite en 1995, les portails sont de plus en plus rapides, pertinents et exhaustifs. En 1998, la révolution chamboule le secteur et se nomme Google. La machine de guerre est née…

Les moteurs de recherche sont devenus un réflexe pour tous les internautes. Comment retrouver une information ou un site web sans passer par un moteur de recherche ?

Mais cet outil de facilité n’est pas toujours utilisé de la meilleure des façons. Il faut d’abord définir une idée précise de sa recherche, avant de choisir un mot-clé qui décrit ce que l’on cherche. Le choix de l’outil est devenu une évidence pour 90% des français, des allemands, des espagnols, des anglais, bref pour de nombreux européens. C’est évidemment le moteur de recherche Google.

Même si les robots et les algorithmes des moteurs vous donneront les pages les plus pertinentes, il est important de garder un oeil critique sur les résultats car les enjeux sont parfois tellement importants que les résultats peuvent être faussés par des « magiciens » (le monde du SEO se reconnaitra…). Il faut traiter l’information en la croisant, en s’appuyant sur des sources reconnues.

Malgré toutes les précautions que vous pouvez prendre, Internet est devenu une telle mine d’information que la qualité des contenus peut s’effriter. A qui la faute ? Peut-être aux 2,27 milliards d’internautes (un peu moins…) qui ont le réflexe d’aller chercher la réponse à n’importe quelle question sur la toile. Avec le web 2.0 ou participatif, la parole a été donnée à tous de donner son avis, à tort ou à raison. Une réflexion de Baptiste Jamet ouvre les esprits (et ils en ont bien besoin !!!) sur cette question.

Bref, entre se perdre dans l’univers Internet ou trouver la réponse que l’on cherche, le choix reste humain.

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